Votre CV retrace l’ensemble de votre parcours, de façon synthétique, claire et impactante. Jusque là, j’imagine que personne ne me contredira. Afin de comprendre l’évolution de votre carrière, il est chaudement recommandé de livrer quelques repères qui permettront au recruteur de suivre sans effort chaque étape du parcours. Ces repère quels sont-ils ? Les dates ! Mais oui, ces fameuses dates qui prennent plusieurs formes, elles expriment généralement le début et la fin d’une expérience et sont évidemment indispensable pour donner forme et matière à l’ensemble de votre carrière.
Seulement voilà, certains candidats décident de s’en passer, d’autres rentrent trop dans le détail. Le seul objectif que vous ayez à cet instant : être compris ! Rien d’autre. Aussi, favorisez la lecture du CV en plaçant les dates à gauche car lorsqu’elles sont sur la partie droite, elles restent en rade et ne sont pas intégrées naturellement… en gros, elles ne servent à rien car ne constituent plus un repère, un peu comme si vous n’aviez rien mis.
Par ailleurs, il convient de donner deux dates, celle de l’entrée et celle de la sortie du job que vous avez occupé. Entre nous, pensez-vous que de donner la date exacte serve à quelque chose ? Ecrire que vous avez rejoint telle entreprise le 31 mars 2002 et que vous l’avez quittée le 5 juin 2006 n’apporte pas vraiment plus d’information que cela, et entre nous, les dates, on s’en moque un peu. Maintenant, examinons, une autre formule : celle qui consiste à donner le mois et l’année, c'est-à-dire mars 2002 – juin 2006. Je trouve, personnellement, que l’information ne nécessite pas ce degré de précision, même si vous n’êtes resté que quelques mois dans l’entreprise. N’oubliez pas que le mensonge est interdit mais qu’il n’est pour autant pas utile de tendre un bâton pour se faire battre !
Alors, dans ces conditions, je ne recommande qu’une seule méthode, celle d’inscrire les années, et uniquement elles soit 2002 – 2006 (proscrire le 02 / 06 risquant la confusion mois / année), c’est à mon avis la seule façon de garantir une vraie lisibilité du CV et de vous assurer que ces informations seront bien mémorisées par le recruteur.
Seulement voilà, certains candidats décident de s’en passer, d’autres rentrent trop dans le détail. Le seul objectif que vous ayez à cet instant : être compris ! Rien d’autre. Aussi, favorisez la lecture du CV en plaçant les dates à gauche car lorsqu’elles sont sur la partie droite, elles restent en rade et ne sont pas intégrées naturellement… en gros, elles ne servent à rien car ne constituent plus un repère, un peu comme si vous n’aviez rien mis.
Par ailleurs, il convient de donner deux dates, celle de l’entrée et celle de la sortie du job que vous avez occupé. Entre nous, pensez-vous que de donner la date exacte serve à quelque chose ? Ecrire que vous avez rejoint telle entreprise le 31 mars 2002 et que vous l’avez quittée le 5 juin 2006 n’apporte pas vraiment plus d’information que cela, et entre nous, les dates, on s’en moque un peu. Maintenant, examinons, une autre formule : celle qui consiste à donner le mois et l’année, c'est-à-dire mars 2002 – juin 2006. Je trouve, personnellement, que l’information ne nécessite pas ce degré de précision, même si vous n’êtes resté que quelques mois dans l’entreprise. N’oubliez pas que le mensonge est interdit mais qu’il n’est pour autant pas utile de tendre un bâton pour se faire battre !
Alors, dans ces conditions, je ne recommande qu’une seule méthode, celle d’inscrire les années, et uniquement elles soit 2002 – 2006 (proscrire le 02 / 06 risquant la confusion mois / année), c’est à mon avis la seule façon de garantir une vraie lisibilité du CV et de vous assurer que ces informations seront bien mémorisées par le recruteur.
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerJe suis pour ma part favorable à un format date "mois + année". Effectivement cela revient pour certains à tendre le bâton mais encore faut-il jouer franc jeu plutôt que le recruteur découvre une mauvaise surprise.
Je m'explique en caricaturant volontairement votre système. Si je vous suis il sera impossible de différencier un candidat rentré dans une entreprise le 31 décembre 2010 et qui en part le 1er janvier 2011 d'une personne ayant une expérience démarrant le 1er janvier 2010 et se terminant le 31 décembre 2011 pourtant il y a deux ans de différence en terme d'expérience entre ces deux personnes.
Pour le reste je vous rejoins totalement, les dates étant les jalons naturels de nos parcours professionnels, je suis plutôt contrarié quand je croise un CV ou elles ne sont pas présentes.
Cordialement
Romain PREBOST
@CulturRH
Pour ma part, je suis d'accord avec Pierre, surtout pour ceux qui ont plus d'une dizaine d'années d'expériences. les mois ne changent rien et il ne parait pas opportun d'insister sur les périodes de chômage.
RépondreSupprimercordialement
David
Bonjour,
RépondreSupprimerJe penche également pour le format mois + année. En effet, que faire (et c'est d'ailleurs mon cas !) quand on quitte un poste en juin 2010 et qu'on en prend un autre en aout 2010, ce même poste se terminant en avril 2011 (d'autant plus que j'espère bien trouver quelque chose avant la fin de cette année !)??? Idem pour un candidat qui commencerait en janvier d'une année une mission de 6 mois pour en débuter une autre le mois suivant ? Le système préconisé ne s'applique en fait que pour ceux qui restent plusieurs années en poste mais ne convient pas à ceux qui auraient des parcours un peu plus "chaotiques" et accepteraient des CDD ou missions d'interim (parfois, on n'a pas vraiment le choix ;=(
c'est vrai que le jour exact n'a pas d'intérêt.
RépondreSupprimerSi on met seulement l'année, cela peut être une bonne solution pour cacher les trous de quelques mois dans un parcours professionnel.
Sur mon cv j'ai juste mis les années et le nombre de mois ce qui revient en fait à mettre mois et années. Mais cela évite aux recruteurs de calculer le nombre de mois.
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