J'ai peur de radoter, si, si, je me répète, je le sais bien. Vous venez de recevoir une convocation à un entretien de recrutement, bravo ! Cela confirme une chose : vous êtes dans la cible, vous correspondez globalement au profil recherché et pourrez à ce titre défendre pleinement vos chances. C'est le bon sens qui parle vous ne trouvez pas ? Pourtant, certains d'entre nous occulteront totalement cette évidence pour se retrouver dans un état allant de légèrement traqueux à complètement "flippé" (placer le curseur où vous vous reconnaissez...).
Je ne vais pas m'amuser à vous dire qu'un entretien n'est qu'un entretien, qu'il n'engage à rien, que ce n'est qu'un moment comme un autre à passer. Vous ne m'entraînerez pas sur ce terrain !
Non, un entretien, quel qu'il soit représente un enjeu, le vôtre pour commencer, il convient donc de ne pas l'aborder avec désinvolture. En revanche, vous conviendrez qu'une personne paralysée par son appréhension éprouvera des difficultés à s'exprimer clairement, de façon construite, posée et positive.
Le timide que je suis n'a malheureusement aucun remède à vous proposer pour vaincre le trac,.. OK, merci Pierre, sympa ton billet ! Mais non, vous n'allez pas rester comme deux ronds de flan (vous ne trouvez pas que cette expression fait du bien?) !
Il me semble nécessaire que vous vous posiez une question : "De quoi ai-je vraiment peur ? ". La peur d'obtenir l'emploi ? La peur de parler de moi ? Celle d'être confronté à la compétition ? Celle de ne pas être à la hauteur ? Avoir peur me parait normal, néanmoins, l'identifier , c'est le premier pas qui permettra de l'affronter, de la prendre à bras le corps pour la simple et bonne raison, que nos peurs ne tiennent pas très longtemps devant les arguments de la raison.
Je ne vais pas m'amuser à vous dire qu'un entretien n'est qu'un entretien, qu'il n'engage à rien, que ce n'est qu'un moment comme un autre à passer. Vous ne m'entraînerez pas sur ce terrain !
Non, un entretien, quel qu'il soit représente un enjeu, le vôtre pour commencer, il convient donc de ne pas l'aborder avec désinvolture. En revanche, vous conviendrez qu'une personne paralysée par son appréhension éprouvera des difficultés à s'exprimer clairement, de façon construite, posée et positive.
Le timide que je suis n'a malheureusement aucun remède à vous proposer pour vaincre le trac,.. OK, merci Pierre, sympa ton billet ! Mais non, vous n'allez pas rester comme deux ronds de flan (vous ne trouvez pas que cette expression fait du bien?) !
Il me semble nécessaire que vous vous posiez une question : "De quoi ai-je vraiment peur ? ". La peur d'obtenir l'emploi ? La peur de parler de moi ? Celle d'être confronté à la compétition ? Celle de ne pas être à la hauteur ? Avoir peur me parait normal, néanmoins, l'identifier , c'est le premier pas qui permettra de l'affronter, de la prendre à bras le corps pour la simple et bonne raison, que nos peurs ne tiennent pas très longtemps devant les arguments de la raison.
Suite à un billet de Jean Philippe de Révolution personnelle, je me retrouve bien contente sur ton blog, merci pour ce partage qui tombe à pic ! On ne peut pas lutter contre le trac et la peur c'est humain inévitable dès l'instant qu'il y a un enjeu personnel, le pti truc que j'utilise : apprendre certaines réponses à des questions probables par coeur, ainsi le temps que je maîtrise à nouveau mon cerveau et que je comprenne que je ne vais pas être mangée par l'ours, le par coeur prend le relais... si ça peut aider certains
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