Nos besoins fondamentaux, nous les connaissons. Ça, c'est sûr... quoique. Mais connaissons nous les besoins de ceux qui sont en face de nous ? Un recruteur par exemple... Et bien figurez-vous que la personne qui est chargée du recrutement fonctionne comme nous... si, si ! Elle aussi est en quête de satisfaction, celle de tous ses besoins (besoins psychologiques cela va sans dire...!).
Bon, je ne suis pas expert en psychologie, mais tout le monde s'accorde à reconnaître que Maslow avait plutôt bien travaillé (houla, les puristes vont me détester !). Pourtant de besoins psychologiques, il en est un qui semble flirter avec le besoin physiologique... la reconnaissance sociale.
Et oui, on en est tous au même point, recrutés et recruteurs, nous avons soif de reconnaissance sociale. Cette reconnaissance, par quoi passe t'elle ? Par le constat de l'être : "tu es sympa mon ami recruteur" ou bien par le constat du fait : "qu'est-ce que tu travailles bien mon ami recruteur... woua" ! Bon, le woua est optionnel.
Alors, je ne lance pas un appel à la flatterie généralisée, cependant, je vous invite à souligner - de façon enthousiaste et sincère - lors d'un entretien, l'effort constaté chez votre interlocuteur mais surtout, quand c'est le cas, sa volonté de vous mettre à l'aise afin de créer les conditions d'un véritable échange.
Bref, l'on recherche tous la reconnaissance sociale, y compris lors d'en entretien de recrutement, même si le demandeur d'emploi est souvent malmené dans cette quête, gardons à l'esprit que le recruteur n'est pas particulièrement satisfait de ce côté. Alors sachons utiliser ce levier à bon escient en reconnaissant une attitude ou un travail bien fait, cela contribuera également à la différenciation, vous ne trouvez pas ?
Bon, je ne suis pas expert en psychologie, mais tout le monde s'accorde à reconnaître que Maslow avait plutôt bien travaillé (houla, les puristes vont me détester !). Pourtant de besoins psychologiques, il en est un qui semble flirter avec le besoin physiologique... la reconnaissance sociale.
Et oui, on en est tous au même point, recrutés et recruteurs, nous avons soif de reconnaissance sociale. Cette reconnaissance, par quoi passe t'elle ? Par le constat de l'être : "tu es sympa mon ami recruteur" ou bien par le constat du fait : "qu'est-ce que tu travailles bien mon ami recruteur... woua" ! Bon, le woua est optionnel.
Alors, je ne lance pas un appel à la flatterie généralisée, cependant, je vous invite à souligner - de façon enthousiaste et sincère - lors d'un entretien, l'effort constaté chez votre interlocuteur mais surtout, quand c'est le cas, sa volonté de vous mettre à l'aise afin de créer les conditions d'un véritable échange.
Bref, l'on recherche tous la reconnaissance sociale, y compris lors d'en entretien de recrutement, même si le demandeur d'emploi est souvent malmené dans cette quête, gardons à l'esprit que le recruteur n'est pas particulièrement satisfait de ce côté. Alors sachons utiliser ce levier à bon escient en reconnaissant une attitude ou un travail bien fait, cela contribuera également à la différenciation, vous ne trouvez pas ?
Avant d'être coach à plein temps, j'ai fait du recrutement et oui, je trouve aussi!
RépondreSupprimerLes recruteurs eux-mêmes oublient qu'ils fonctionnent comme tout le monde y compris face aux candidats.
Il y a bien des manières subtiles de lui renvoyer de la reconnaissance sociale, en évitant les "vous faites un métier difficile" lourdingues, et qui ne sont pas nécessairement manipulatoires. Tout simplement être sympa, souriant et enthousiaste renvoie au recruteur une image positive... de lui-même. Car on n'a pas envie d'être sympa avec une porte de prison! Voilà déjà un préjugé favorable.
Attention cependant, car toute tentative visible, qui ressemble ne serait-ce que de loin à de la flatterie stratégique, par exemple, produira l'effet inverse!
Qu'en est il des recruteurs dont les besoins physiologiques ne sont pas assouvis qui tentent d'intimider en essayant de flirter avec les candidats (es)? La pyramide de Maslow commence bien bas pour certains!!!
RépondreSupprimerLe manque de reconnaissance et de respect est tel envers les candidats actuellement que le gouffre s'est creusé....à quand un coaching des entreprises en ce sens ? puisque c'est dans les deux sens, non ?
RépondreSupprimerBonjour Pierre,
RépondreSupprimerOui c'est habile de vouloir désarmorcer le contexte tendu du recrutement, où souvent le recruteur n'est lui-même pas souriant, pas accueillant et où lui-même creuse le fossé dés le départ. Maintenant effectivement, ne généralisons pas, ils ne sont pas tous comme ça et pour ceux qui effectivement sont reconnaissables comme étant des humains comme nous tous, il n'y a absolument aucune raison pour que l'échange ne soit pas plein d'empathie et dans une logique gagnant/gagnant.
Seulement, quel est le % de recruteurs qui fonctionnent dans cette logique là ?
Il est là le fossé. Il y a encore trop de recruteurs qui se la pète, passez moi l'expression mais il n'y en a pas d'autre, pour trop peu encore qui se comportent respectueusement, c'est un minimum.
Et je connais votre manière de voir les choses, ça ne sert à rien de critiquer tout le temps, ce n'est pas constructif, pensez-vous. Eh bien justement, ces critiques redondantes à l'égard des recruteurs est constructive, parce que c'est grâce à elle que l'on commence à voir arriver des cabinets et des consultants qui précisément sont en train d'agir pour améliorer la relation candidat/recruteur et ça marche !
Ca marche parce qu'il ne s'agit plus de toujours demander tous les efforts aux candidats à sens unique. Dans toute relation, pour que ça fonctionne efficacement et durablement, la reconnaissance doit être équitable.
Alors oui qu'on soit candidat ou qu'on soit recruteur, on a tous besoin de reconnaissance, c'est pas à sens unique.
Bien à vous,
Virginie