Votre expertise et vos compétences ne suffisent pas, essentielles bien entendu, il en faudra davantage pour faire la différence. Le décor est planté ! Entre nous, vous n'apprenez rien de vraiment nouveau, il est évident que la forme a autant - si ce n'est plus - d'importance que le fond dans un entretien de recrutement. Pourquoi plus ? Tout simplement parce que vos compétences ne peuvent être validées qu'à l'issue d'une période d'essai de plusieurs semaines et non au bout de 45 minutes d'entretien.
Où est-ce que je souhaite vous entraîner ? Vers l'objectif qu'il est recommandé de ne pas perdre de vue lors de la préparation de l'entretien : être le candidat avec lequel il fera bon travailler. Vous le deviendrez grâce à votre attitude, ouverture d'esprit (soyez curieux !), capacité à transmettre (notamment en vous exprimant simplement, sans jargon).
Bien entendu, vous serez toujours questionné sur vos connaissances professionnelles, la perception de votre métier, celle du secteur d'activité, votre capacité d'adaptation, etc, etc... cependant, vous aurez beau montrer l'étendue de votre expérience, rien ne remplacera cette perception, intime, que vous saurez vous intégrer à l'équipe installée, que vous réussirez à trouver votre place sans créer la révolution dans l'entreprise, que vous serez un élément de confiance, instaurant grâce à ce que vous dégagez une ambiance de travail positive et constructive.
Alors un conseil, à défaut de partir en entretien en vous convaincant d'être le meilleur, gardez à l'esprit que savoir rassurer par ses connaissances et capacités est une chose, mais que l'envie de travailler avec vous ne passera que par l'attitude que vous véhiculez !
Où est-ce que je souhaite vous entraîner ? Vers l'objectif qu'il est recommandé de ne pas perdre de vue lors de la préparation de l'entretien : être le candidat avec lequel il fera bon travailler. Vous le deviendrez grâce à votre attitude, ouverture d'esprit (soyez curieux !), capacité à transmettre (notamment en vous exprimant simplement, sans jargon).
Bien entendu, vous serez toujours questionné sur vos connaissances professionnelles, la perception de votre métier, celle du secteur d'activité, votre capacité d'adaptation, etc, etc... cependant, vous aurez beau montrer l'étendue de votre expérience, rien ne remplacera cette perception, intime, que vous saurez vous intégrer à l'équipe installée, que vous réussirez à trouver votre place sans créer la révolution dans l'entreprise, que vous serez un élément de confiance, instaurant grâce à ce que vous dégagez une ambiance de travail positive et constructive.
Alors un conseil, à défaut de partir en entretien en vous convaincant d'être le meilleur, gardez à l'esprit que savoir rassurer par ses connaissances et capacités est une chose, mais que l'envie de travailler avec vous ne passera que par l'attitude que vous véhiculez !
Bonjour,
RépondreSupprimer...passera par l'attitude que vous véhiculez!
Comment savoir l'attitude que je véhicule?
Pour y être passée par cet apprentissage, j'apporte quelques éléments.
1) Pour savoir ce que je véhicule, j' ACCEPTE d'entendre, de voir, de ressentir les infos que mon interlocuteur m'envoie.
L'acceptation est déjà un ENORME pas.
2) Une fois enmagasiné l'entendu, le vécu, le ressenti: j'apprends à décoder.
Un à un- 'qu'est-qu'il(elle) a voulu dire là?', 'pourquoi il a dit ça?';
LE FAMEUX 'Pourquoi j'ai pas dis ça et ça à ce moment là?'.
3) Je revis les discussions,recontres, les RV et je refais le film. Là, je dis, fais, démontre, en mettant les mots que je n'avais pas dis la première fois.
Tant que j'évite de gérer des situations passées avec les compétences acquises, je tourne en rond.
Exemple : la conscience du trac, l'identification d'une attitude déstabilisante de l'interlocteur. En quoi son attitude m'a t-elle déstabilisée?
Indicateur précieux pour savoir à quel moment il faut se bouger les fesses parcequ'on tourne en rond:
La preception du déjà vécu !
Là, il faut se bouger, car c'est signe que l'on avance plus.
La vie, c'est des situations nouvelles à gérer chaque jour. Pas de revivre ce que je connais déjà.
Donc, si je veux vivre autre chose j'active des comportements autres.
Bonne journée,
Bravo Pierre ! Cette intelligence émotionnelle devient de plus en plus nécessaire et peut d'ailleurs se développer.
RépondreSupprimerA compétences égales, c'est elle qui fera la différence. :)
"Hauts les coeurs"! Voilà un titre qui me plaît et qui me rappelle que c'est en chanson et en équipe qu'on avance avec détermination et bonheur!
RépondreSupprimerBonjour,
RépondreSupprimerMerci et bravo Pierre pour votre article toujours aussi simple, pertinent et bien équilibré.
Un "expert RH" du nom de Publilius SYRUS a déclaré un jour « Par temps calme, n’importe qui peut gouverner un navire. »
En réaction aux commentaires (et à l'article), je dirais que je préfère travailler avec des personnes qui ont une réelle maturité et stabilité émotionnelle qu'avec celles qui manquent d'intégrité de cohérence et dont les vieux démons reviennent dans des situations difficiles (parfois de manière sournoise et insidieuse, donc d'autant plus dangereuse).
En clair : je préfère des personnes pour qui cet article est un passage, ou un rappel, et qui sont et seront authentiques.
Mon expérience dans toutes sortes d'entreprises (les vraies ^-^) m'a appris que ça n'est pas l'évidence et que les bonnes personnes ne sont pas toujours aux bonnes places et bien considérées.
Ceci dit, j'aime, que dis-je, j'adore votre manière de penser Pierre et je souhaite que vous soyez entendu, compris, et dupliqué !
En espérant que l'on saura dépasser ce stade intermédiaire de développement pour ne plus avoir besoin de "faire semblant".
Du Lean Behaving en quelque sorte...
Bonne journée bon courage à tous,
Maj Majest
Et quand vous tombez sur des collègues qui vous font bien sentir qu'ils sont là depuis longtemps, qui ne vous passent pas la moitié des informations parce qu'ils ont peur que vous deveniez plus compétents qu'eux ?
RépondreSupprimerQue le chef est un psychopathe qui a atteint son seuil d'incompétences ?