"Ne demeure pas dans le passé, ne rêve pas du futur, concentre ton esprit sur le moment présent"- Bouddha.
Je ne suis pas un grand connaisseur du bouddhisme, mais je constate comme tout le monde, que les adeptes de la méditation souffrent un peu moins du stress ou de l'angoisse que les autres. Puisque nous avons commencé à travailler sur la peur, et qu'elle s'inscrit, dans nos cas, dans l'appréhension d'une séquence future, celle d'échouer, de ne pas plaire, d'être recalé, déçu, j'imagine que nous tenons là une astuce qui permettrait de limiter l'impact de la peur sur la prestation d'un candidat en entretien. Je sais, je ménage le suspens !
Le Carpe Diem d'Horace, terriblement pessimiste de mon point de vue, "prend tout ce qu'il y a prendre aujourd'hui car demain n'existera peut-être pas" (traduction libre de votre serviteur) ne constitue pas une réponse à nos angoisses, au contraire. En revanche, savoir se placer dans le présent, permettrait, sans aucun doute, de ne plus se focaliser sur l'avenir, seul environnement possible de nos peurs. A bien y regarder, avoir peur s'inscrit globalement dans un rapport au temps, passé ou futur, en effet, "j'ai peur de ce qui va m'arriver" se dit plus souvent que "j'ai peur de ce qui m'arrive".
Alors, l'idée que je ressors de la citation de Bouddha, c'est un exercice de concentration, se rencentrer sur le présent. Si je me concentre sur le présent, je limite l'impact de ma peur, parce qu'au présent, la peur n'existe pas ou en tout cas beaucoup moins. Par conséquent, lorsque vous penserez "J'ai peur de rater mon entretien", concentrez vous sur le présent et demandez-vous "oui mais là, tout de suite, tu as peur de quoi, là, maintenant ?". "Là, tout de suite, tout de suite ? Je n'ai peur de rien !".
Je ne suis pas un grand connaisseur du bouddhisme, mais je constate comme tout le monde, que les adeptes de la méditation souffrent un peu moins du stress ou de l'angoisse que les autres. Puisque nous avons commencé à travailler sur la peur, et qu'elle s'inscrit, dans nos cas, dans l'appréhension d'une séquence future, celle d'échouer, de ne pas plaire, d'être recalé, déçu, j'imagine que nous tenons là une astuce qui permettrait de limiter l'impact de la peur sur la prestation d'un candidat en entretien. Je sais, je ménage le suspens !
Le Carpe Diem d'Horace, terriblement pessimiste de mon point de vue, "prend tout ce qu'il y a prendre aujourd'hui car demain n'existera peut-être pas" (traduction libre de votre serviteur) ne constitue pas une réponse à nos angoisses, au contraire. En revanche, savoir se placer dans le présent, permettrait, sans aucun doute, de ne plus se focaliser sur l'avenir, seul environnement possible de nos peurs. A bien y regarder, avoir peur s'inscrit globalement dans un rapport au temps, passé ou futur, en effet, "j'ai peur de ce qui va m'arriver" se dit plus souvent que "j'ai peur de ce qui m'arrive".
Alors, l'idée que je ressors de la citation de Bouddha, c'est un exercice de concentration, se rencentrer sur le présent. Si je me concentre sur le présent, je limite l'impact de ma peur, parce qu'au présent, la peur n'existe pas ou en tout cas beaucoup moins. Par conséquent, lorsque vous penserez "J'ai peur de rater mon entretien", concentrez vous sur le présent et demandez-vous "oui mais là, tout de suite, tu as peur de quoi, là, maintenant ?". "Là, tout de suite, tout de suite ? Je n'ai peur de rien !".
Merci pour ce billet fort intéressant, je suis scotché par la qualité des conseils
RépondreSupprimerblog très intéressant, post vraiment pertinent et je souhaitais le confirmer: j'ai commencé le yoga l'année dernière. très stressée auparavant, je prends maintenant du recul sur les événements parfois difficile, j'aborde les entretiens plus sereinement et les "échecs" temporaires ne sont plus une fatalité qui vont faire sombrer ma vie entière!!!même mon ami profite de ma nouvelle sérénité
RépondreSupprimernamasté et merci pour votre blog!
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerJe n'avais pas vu ce billet à sa sortie, mais je sens bien que dans l'expression, les contacts et/ou les influences des personnes que l'on rencontre (Par exemple, Sylvaine PASCUAL d'Ithaque dont je lis tous les billets) ne sont pas étrangères, a ce que l'on peut écrire au moment présent comme vous le dites si bien.
Respectueusement.
Hervé BERNARD 72
Bonjour Pierre,
RépondreSupprimerEffectivement, je fais comme la personne ci-dessus du yoga et de la méditation. J'ai constaté une plus grande sérénité et surtout une très grande concentration qui fait que toutes mes ressources sont mobilisées à bon escient. je travaille mieux et plus vite. Cela me donne une plus grande conscience du moment présent (écoute, observation, etc...).