Vous souvenez-vous de la question que posait Napoléon à ses futurs soldats : "avez-vous de la chance ?"
Je remarque que ce sont souvent les mêmes personnes qui attirent irrésistiblement la chance, comme si elles avaient une étoile bienveillante au dessus de la tête, accumulant réussite, succès et autres choses agaçantes quand on en manque. Et si je vous disais que la chance se travaille, comme une compétence à part entière. Cette compétence pourrait être résumée en une simple action : faire en sorte de créer un environnement favorable pour que les opportunités affluent.
De quelle façon me direz-vous ? D'abord en restant curieux, curieux de tout, chercher à comprendre, chercher à savoir, désirer rencontrer des personnes de votre réseau, ce fameux réseau... Proposez votre aide, mettez en relation vos connaissances, devenez acteur de votre réseau, d'abord pour offrir et donner. Vous saurez fatalement créer les conditions pour recevoir à votre tour l'aide de vos contacts.
Pour créer les opportunités favorables, il faut être en mesure de la reconnaître. Pour cela, pas d'autre solution que d'avoir vécu et essuyé quelques revers, une expérience que vous avez su transformer pour tirer les leçons d'un échec. Vous l'aviez remarqué mais la chance change de camp, souvent.
Enfin, le mouvement, l'action, l'anticipation sont le terreau de la chance qui vous rend visite, allez au bout de vos projets, menez les jusqu'à leur terme car ces mêmes projets vous créeront les opportunités tant attendues. Haut Les Coeurs !!
* Merci Pierre-Yves pour nos conversations !
Je remarque que ce sont souvent les mêmes personnes qui attirent irrésistiblement la chance, comme si elles avaient une étoile bienveillante au dessus de la tête, accumulant réussite, succès et autres choses agaçantes quand on en manque. Et si je vous disais que la chance se travaille, comme une compétence à part entière. Cette compétence pourrait être résumée en une simple action : faire en sorte de créer un environnement favorable pour que les opportunités affluent.
De quelle façon me direz-vous ? D'abord en restant curieux, curieux de tout, chercher à comprendre, chercher à savoir, désirer rencontrer des personnes de votre réseau, ce fameux réseau... Proposez votre aide, mettez en relation vos connaissances, devenez acteur de votre réseau, d'abord pour offrir et donner. Vous saurez fatalement créer les conditions pour recevoir à votre tour l'aide de vos contacts.
Pour créer les opportunités favorables, il faut être en mesure de la reconnaître. Pour cela, pas d'autre solution que d'avoir vécu et essuyé quelques revers, une expérience que vous avez su transformer pour tirer les leçons d'un échec. Vous l'aviez remarqué mais la chance change de camp, souvent.
Enfin, le mouvement, l'action, l'anticipation sont le terreau de la chance qui vous rend visite, allez au bout de vos projets, menez les jusqu'à leur terme car ces mêmes projets vous créeront les opportunités tant attendues. Haut Les Coeurs !!
* Merci Pierre-Yves pour nos conversations !
C'est un sujet réellement passionnant. Favoriser la chance nécessite trois qualités :
RépondreSupprimerDe la vision, pour tout de suite déterminer si une piste mérite d'être suivie.
De la visibilité, plus on a d'interactions avec d'autres, plus il y a de chances pour qu'elle nous tombe dessus.
Des compétences, lorsque la chance arrive, il faut être au point pour avoir les moyens de la saisir.
Tout un programme :)
Merci, c'est toujours avec plaisir...
RépondreSupprimerEnjoy ;o)
Comme l'écrivait Hector Berlioz :
RépondreSupprimer"La chance d'avoir du talent ne suffit pas ; il faut encore le talent d'avoir de la chance"
j'aurais une question : quand on s'est trompé de parcours professionnel, qu'il est trop tard pour reprendre tout à zéro, qu'il faut de l'argent pour manger et payer son loyer, qu'on n'a meme pas l'idée de ce qui pourrait nous convenir comme travail car on est perdu par des années d'un travail qu'on exècre... la chance, on va la chercher où ?
RépondreSupprimerMerci Jean et Jacinte, j'irai faire un tour sur vos blogs que je trouve très bien faits !
RépondreSupprimerPierre-Yves, je te dis à lundi !
Nelly : pourquoi est-il trop tard de changer quelque chose ? Pour le reste, nous sommes, dans l'immense majorité, confrontés aux mêmes préoccupations matérielles, je ne crois pas à la contrainte de l'argent (ni à celle du temps)pour commencer à faire bouger sa vie. (comme dirait mon patron, un éléphant, ça se mange à la petite cuillère ! Je rajouterais un proverbe indien disant : on ne trébuche pas sur une montagne mais sur une pierre.
Pierre,
RépondreSupprimerNous ne pouvons tout de même pas nier notre 1ère nécessité, qui est celle du ventre ?
J'ai honte lorsque je vois dans Paris, de plus en plus de femmes à la rue, clochardes.
Je ne pense pas qu'en leur disant qu'elles ont trébuché sur une pierre en pensant qu'il s'agissait d'une montagne, elles se sortent de là.
Lorsque le corps souffre, l'esprit ne peut plus suivre et il faut d'abord commencer par réalimenter le corps, avant de songer que l'esprit puisse exploiter ses ressources.
Ce que cette femme, Nelly, exprime est terrible. Elle décrit une descente aux enfers, dont on ne se relève pas forcément aussi simplement que ce que vous suggérez.
La contrainte de l'argent est bien réelle. On peut le regretter, mais sans nier qu'il existe des situations tellement difficiles, que le 1er coup de pouce dont une personne peut avoir besoin est d'abord matériel. L'idéal, c'est 2 coups de pouce en même temps, matériel et spirituel. C'est ce que nos sociétés occidentales bien riches ne savent plus faire, à force de nier les 1ères nécessités en s'asseyant dessus, comme s'il s'agissait soit d'une banalité, soit d'un saleté, soit d'un caprice de gens trop bien nourris. La matière n'est rien de tout ça. Elle nous procure aussi bien des plaisirs, notamment pour le plus grand bonheur de notre esprit, à condition de veiller à bien concilier les deux ensemble.
A part ça, je suis entièrement d'accord avec vous, pour dire que la chance n'est pas une question de hasard.
Merci pour ce témoignage Virginie, témoignage qu'il faut néanmoins replacer dans le contexte de la recherche d'emploi.
RépondreSupprimerPourtant, je persiste, je ne crois pas à la contrainte de l'argent pour décider de changer quelque chose dans sa vie, aussi symbolique soit-il.
Vous tendez probablement la main vers les clochardes dont vous parlez, cette main tendue est capitale, non financière, elle déclenchera pourtant - et très probablement - la révolution personnelle de ces femmes isolées.
Que croyez vous que je nie dans mon engagement, la détresse des gens ? leur incertitude ? Solitude ? difficultés financières ? personnelles ? J'ai choisi de ne pas ajouter du noir au noir, j'ai choisi de dédramatiser un peu ces situations personnelles. J'ai choisi de ne pas sombrer dans le désespoir et d'apporter de l'enthousiasme aux personnes qui en sont privées.
Vous avez qualifié de terrible ce qu'exprime Nelly, je ne suis pas certain que votre commentaire l'aidera à relever la tête.
N'hésitez pas à me contacter si vous le souhaitez.
Pierre
Bjr,fidèle lectrice de ce blog, je suis surprise par votre commentaire Virginie, vous n'avez pas compris la portée de l'aide de monsieur D enier, il est celui qui a le mieux compris nos difficultés, apporter un peu de soleil tout les jours fait du bien, des conseils simples aussi, alors moi je lui dit merci car son aide est précieuse et concrete.
RépondreSupprimernathalie Prat
Nathalie,
RépondreSupprimerComment êtes-vous si certaine que je n'ai pas compris ?
A votre avis, pourquoi est ce que je viens ici ?
Avez-vous lu l'ensemble des messages que j'ai glissé sur ce blog ? Oui, je reconnais bien volontiers les mérites de Pierre.
Pour autant, ils ne m'apaisent pas forcément autant que vous le prétendez. Savez-vous pourquoi ?
A la lecture de certaines réactions d'autres participants, les mérites des propos tenus par Pierre ne les apaisent pas non plus autant que vous le prétendez. Savez-vous pourquoi ?
Je me le demande et j'essaie de comprendre.
Parfois, les messages de Pierre, m'agacent, bien que je reconnaisse tout son mérite, tout le bon sens et toute la sérénité qu'ils dégagent. Savez-vous pourquoi ?
Le monde n'est pas un petit nuage tout rose sur lequel nous pouvons voguer en permanence.
Pierre fait le choix de ne pas ajouter du noir au noir. Soit, c'est louable et tout à son honneur et comme vous, je viens ici m'imprégner d'autre chose que du noir. Pour autant, est ce que d'un seul coup, tout devient tout rose ?
Ce serait joli, mais ça n'est pas exactement comme ça que les choses se passent.
Vous allez me dire, il ne tient qu'à nous qu'elles se passent comme nous le souhaitons.
Oui, vous avez raison. Mais c'est sans compter sur les interférences extérieures à nous-mêmes. C'est sans compter que nous ne sommes pas seuls au monde et qu'il ne suffit pas de se coller une auréole sur la tête pour devenir un saint.
Pierre,
RépondreSupprimerJ'espère sincèrement que Nelly reviendra sur ce blog et qu'elle fera la part des choses.
J'ose espérer que l'ensemble des commentaires lui permettront de faire son tri pour trouver sa voie. J'essaie de lui montrer que nous ne venons pas ici béatement et que nous traversons tous des épreuves, vous y compris.
Peut-être que le savoir se transmet plus facilement, lorsque le savant dit qu'avant d'être savant, il a lui aussi cheminé pas forcément tout droit et qu'il le comprend.
C'est un échange, qui je le souhaite, puisse être constructif.
Merci donc de permettre ces échanges et merci encore pour tout ce que vous faîtes.
A Virginie : Comment ça je vous agace !!!
RépondreSupprimerje plaisante. Merci très sincèrement pour vos commentaires.
Par ailleurs, vous souvenez-vous que nous avions convenu d'un entretien téléphonique ? Peut-être devrions nous (ré)organiser ce rdv.
Bon courage. Pierre