Les questions les plus dérangeantes ne sont pas forcément les plus dangereuses... bon, je m'explique...
Une question frontale évoquant un sujet tabou est un bon moyen de mesurer votre capacité à vous remettre en question et à rebondir pour retomber sur vos appuis.
Un exemple : "avez-vous déjà connu des situations d'échec ?". Aïe, oui j'en ai connues quelques unes mais je ne comptais pas m'étendre sur le sujet, on ferait mieux d'évoquer mes succès, j'en ai à revendre ! Admettre la réalité est un gage de lucidité et d'intelligence. Il ne s'agira pas de se flageller mais de reconnaître une erreur de choix ou de stratégie (évitez de choisir une erreur de méthodologie) en précisant que de bonnes décisions avaient été prises en fonction d'une situation dont l'évolution - différente des plans - a été prise en compte trop tard... regardez bien, cette rapide description colle à peu près à tous nos échecs... si, si.
Maintenant que l'échec est décrit, à vous de mettre en avant l'enseignement que vous tirez de cette expérience (tiens en parlant d'expérience, n'oubliez pas de citer Oscar Wilde : "L'expérience est le nom que l'on donne à ses erreurs."), les règles d'une planification maîtrisée, la mise en place d'indicateurs de résultats, la mesure des écarts entre l'objectif et la réalité pour lancer les plans d'actions correctives, etc, etc...
Bref, oui, il vous est arrivé de connaître l'échec et oui aussi, grâce à cet échec, vous avez construit par la suite de beaux succès... (précision : ne vous inventez pas pour autant une ribambelle d'échecs pour répondre correctement !) .
Une question frontale évoquant un sujet tabou est un bon moyen de mesurer votre capacité à vous remettre en question et à rebondir pour retomber sur vos appuis.
Un exemple : "avez-vous déjà connu des situations d'échec ?". Aïe, oui j'en ai connues quelques unes mais je ne comptais pas m'étendre sur le sujet, on ferait mieux d'évoquer mes succès, j'en ai à revendre ! Admettre la réalité est un gage de lucidité et d'intelligence. Il ne s'agira pas de se flageller mais de reconnaître une erreur de choix ou de stratégie (évitez de choisir une erreur de méthodologie) en précisant que de bonnes décisions avaient été prises en fonction d'une situation dont l'évolution - différente des plans - a été prise en compte trop tard... regardez bien, cette rapide description colle à peu près à tous nos échecs... si, si.
Maintenant que l'échec est décrit, à vous de mettre en avant l'enseignement que vous tirez de cette expérience (tiens en parlant d'expérience, n'oubliez pas de citer Oscar Wilde : "L'expérience est le nom que l'on donne à ses erreurs."), les règles d'une planification maîtrisée, la mise en place d'indicateurs de résultats, la mesure des écarts entre l'objectif et la réalité pour lancer les plans d'actions correctives, etc, etc...
Bref, oui, il vous est arrivé de connaître l'échec et oui aussi, grâce à cet échec, vous avez construit par la suite de beaux succès... (précision : ne vous inventez pas pour autant une ribambelle d'échecs pour répondre correctement !) .
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