Je sais bien qu'il est difficile de se mettre en avant, de se vendre auprès d'un recruteur. Il est compliqué d'expliquer une vie pleine de rebondissements, pas forcément linéaire. Des choix, ceux que nous avons décidé de suivre lorsque nous avions 20 ans et qui aujourd'hui s'avèreraient très différents. Nous avons payé pour nos mauvaises décisions, de l'ennui, du chômage, que sais-je...
Nous avons également connu nos heures de gloire, reconnus par nos pairs, élèves prometteurs, admirés de nos professeurs. Savez-vous ce que disait Oscar Wilde : " L'expérience est le nom que l'on donne à ses erreurs". Et bien oui, nous nous sommes tous trompés à un moment ou un autre, nous avons tous fait de mauvais choix, par vanité, gourmandise ou manque de chance. Assumons ! Bon sang, assumons, arrêtons de fuir et de cacher ce que nous sommes !
Je sais bien que vous êtes confrontés au conformisme. Recevant une dizaine de CV chaque jour depuis de nombreux mois, je reste néanmoins très optimiste et confiant. Vous ne trouvez pas que le linéaire est terriblement ennuyeux, que tout ce qui est prévisible est terriblement inintéressant ?
Moi si. Je ne rêve que de parcours atypiques, de baroudeurs, d'explorateurs, de pionniers dans l'incapacité de me montrer le cap qu'ils suivent. Le vrai, le véritable, l'essentiel, n'est pas dans votre CV, il est en vous, uniquement dans ce que vous êtes, ce que vous êtes devenus. Vive le risque, vive le différent, vive la richesse de nos expériences.
Quel est le slogan d'HEC : "Apprendre à Oser". Allons -y ! Apprenons tous ensemble car je peux vous assurer que vos profils, ceux-là même que vous rêvez plus communs, sauront trouver l'intérêt d'un recruteur.
Nous avons également connu nos heures de gloire, reconnus par nos pairs, élèves prometteurs, admirés de nos professeurs. Savez-vous ce que disait Oscar Wilde : " L'expérience est le nom que l'on donne à ses erreurs". Et bien oui, nous nous sommes tous trompés à un moment ou un autre, nous avons tous fait de mauvais choix, par vanité, gourmandise ou manque de chance. Assumons ! Bon sang, assumons, arrêtons de fuir et de cacher ce que nous sommes !
Je sais bien que vous êtes confrontés au conformisme. Recevant une dizaine de CV chaque jour depuis de nombreux mois, je reste néanmoins très optimiste et confiant. Vous ne trouvez pas que le linéaire est terriblement ennuyeux, que tout ce qui est prévisible est terriblement inintéressant ?
Moi si. Je ne rêve que de parcours atypiques, de baroudeurs, d'explorateurs, de pionniers dans l'incapacité de me montrer le cap qu'ils suivent. Le vrai, le véritable, l'essentiel, n'est pas dans votre CV, il est en vous, uniquement dans ce que vous êtes, ce que vous êtes devenus. Vive le risque, vive le différent, vive la richesse de nos expériences.
Quel est le slogan d'HEC : "Apprendre à Oser". Allons -y ! Apprenons tous ensemble car je peux vous assurer que vos profils, ceux-là même que vous rêvez plus communs, sauront trouver l'intérêt d'un recruteur.
Là j'ai le sourire !
RépondreSupprimerPas comme hier, où un consultant m'a soutenu que lorsque l'on crée une entreprise, c'est forcément que l'on a un caractère indépendant et que c'est difficile pour une entreprise de gérer des personnes indépendantes.........
Fichtre, j'ignorais que la vocation d'une entreprise était de gérer des personnes. Elles sont grandes les personnes qui bossent dans les entreprises, non ? Donc elles sont capables de se "gérer" toutes seules, non ? Plus elles sont autonomes pour apporter ce dont l'entreprise a besoin, mieux c'est pour l'entreprise, non ?
Et puis indépendant, ça veut dire quoi pour un recruteur ? Est ce péjoratif ?
Pour moi en tout cas, ça veut dire autonome et responsable et ça me parait être plus une force qu'une faiblesse.
Mais j'ai toujours l'impression que ce n'est pas conforme aux attentes de certains interlocuteurs. Du coup, me voilà très préoccupée a essayer de me transformer en ce qu'il faudrait que je sois pour coller aux attentes du plus grand nombre d'interlocuteurs et ainsi retrouver un poste.
Ah oui, mais c'est faire obstacle à ce que je suis et je n'ai en fait pas envie d'être quelqu'un d'autre, même si ce quelqu'un d'autre pourrait coller parfaitement aux attentes du plus grand nombre de mes interlocuteurs.
Pourtant, je n'ai plus vraiment les moyens de prendre le risque de passer à côté d'un poste, juste parce que j'ai osé être moi-même. Et j'enrage (je sais, c'est pas bien!), parce qu'oser et prendre des risques, j'ai de plus en plus l'impression que ça ne paye pas.
Allez, ce que vous écrivez là Monsieur Denier, prouve qu'effectivement qu'il y a toujours un rayon de soleil qui se cache derrière les nuages ! Cheeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeese