« Oui, euh, absolument, en fait, euh, comment dirais-je, euh…quelque part ...».
Au bout du centième « euh », celui qui est en face de vous ne vous écoute plus du tout mais se demande sournoisement, le regard perdu, quand vous lui lancerez un petit « euh ». Vous ne dîtes jamais « euh » ? Alors quel est votre tic de langage ?
N’avez-vous pas tendance à tout diminuer ? « Un peu », « Petit », « Un petit peu » ?
N’avez-vous pas tendance à toujours tout affirmer ? « Oui, donc », « absolument », « tout à fait », « c’est clair ». Une tendance à toujours tout relativiser ? « Quelque part », « Dans l’absolu », « Si l’on veut », « En quelque sorte »… Bref, la liste est longue !
Je comprends qu’il soit difficile de maîtriser ses tics, mais il existe des recruteurs qui se focalisent bêtement sur des détails, ne retenant qu’une phrase maladroite, un mot ou une expression trop souvent employés (en général à tort et à travers). Je me souviens d’un candidat qui n’arrêtait pas de placer deux expressions : « jeter l’anathème sur…» et « il faut raison garder ». Une fois, d’accord, deux fois… bon, mais alors trois, quatre fois, que dis-je cinq ou six fois, bonjour les dégâts !
J’ai un ami qui, lorsqu’il souhaite avoir une conversation sérieuse, commence toutes ses phrases par « pas de problème ». « Pas de problème » à toutes les sauces, que penses-tu de ci, de ça : « pas de problème, je pense que… ». Bizarre, non ?
Évidemment, je prends des cas extrêmes, mais écoutez bien autour de vous, vous verrez que certains répètent plus ou moins inconsciemment des mots ou expressions arrivant comme un cheveu sur la soupe, il pourra également s’agir de tics comportementaux (mais nous aborderons ce thème un autre jour).
L’idée majeure, c’est de vous attacher à contrôler vos paroles, ne laissez pas l’inconscient prendre le dessus, concentrez-vous, parlez lentement, ne donnez pas l’occasion à l’interlocuteur de décrocher ou de se moquer de vous, secrètement, sous cape, derrière son visage impassible ou amical.
Quel est le tic de langage de nos amis Toulousains ?
Au bout du centième « euh », celui qui est en face de vous ne vous écoute plus du tout mais se demande sournoisement, le regard perdu, quand vous lui lancerez un petit « euh ». Vous ne dîtes jamais « euh » ? Alors quel est votre tic de langage ?
N’avez-vous pas tendance à tout diminuer ? « Un peu », « Petit », « Un petit peu » ?
N’avez-vous pas tendance à toujours tout affirmer ? « Oui, donc », « absolument », « tout à fait », « c’est clair ». Une tendance à toujours tout relativiser ? « Quelque part », « Dans l’absolu », « Si l’on veut », « En quelque sorte »… Bref, la liste est longue !
Je comprends qu’il soit difficile de maîtriser ses tics, mais il existe des recruteurs qui se focalisent bêtement sur des détails, ne retenant qu’une phrase maladroite, un mot ou une expression trop souvent employés (en général à tort et à travers). Je me souviens d’un candidat qui n’arrêtait pas de placer deux expressions : « jeter l’anathème sur…» et « il faut raison garder ». Une fois, d’accord, deux fois… bon, mais alors trois, quatre fois, que dis-je cinq ou six fois, bonjour les dégâts !
J’ai un ami qui, lorsqu’il souhaite avoir une conversation sérieuse, commence toutes ses phrases par « pas de problème ». « Pas de problème » à toutes les sauces, que penses-tu de ci, de ça : « pas de problème, je pense que… ». Bizarre, non ?
Évidemment, je prends des cas extrêmes, mais écoutez bien autour de vous, vous verrez que certains répètent plus ou moins inconsciemment des mots ou expressions arrivant comme un cheveu sur la soupe, il pourra également s’agir de tics comportementaux (mais nous aborderons ce thème un autre jour).
L’idée majeure, c’est de vous attacher à contrôler vos paroles, ne laissez pas l’inconscient prendre le dessus, concentrez-vous, parlez lentement, ne donnez pas l’occasion à l’interlocuteur de décrocher ou de se moquer de vous, secrètement, sous cape, derrière son visage impassible ou amical.
Quel est le tic de langage de nos amis Toulousains ?
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